Les réunions internes ont repris et leurs interventions aussi.
Suite à la dernière réunion du conseil municipal du 13 Septembre, le journal Le Télégramme communique :
extraits : (...) Quart d'heure citoyen. Le collectif Logebeg.degaz est intervenu en fin de séance, pour informer le conseil municipal de sa décision de ne pas valider le compte rendu de la Commission de suivi de site en l'absence d'un certain nombre de documents (non présentés). Il réclame l'entièreté des documents présentés et ce, sans modification.
Cela suite à ce qu'en disait Ouest-France le 28 Aout 2013 : je cite :
"Les opposants à l'installation d'une usine de
méthanisation, représentés par le collectif Logebeg Degaz, continuent de se
mobiliser et d'engager des actions pour que les pouvoirs publics reconsidèrent
le projet.
À la suite à une réunion de présentation d'une commission
de suivi de site, proposée par la Cocopaq et le promoteur du projet, Naskéo,
les opposants ont estimé que différents points restaient encore à éclaircir
selon eux : les financements (autres que les subventions publiques),
La possibilité pour les riverains d'obtenir un dédommagement pour les pertes de
valeurs immobilières, la perte de chiffre d'affaires, voire l'arrêt d'activités
des gîtes voisins du site, et les nuisances occasionnées par la proximité du
site industriel.
Ainsi, au cours de l'été, le collectif a écrit différents
courriers au préfet du Finistère, Jean-Luc Videlaine, au préfet de la région
Bretagne, Patrick Strzoda, mais aussi au ministre de l'Écologie, du
développement durable et de l'énergie, Philippe Martin, pour leur faire part de
leurs doutes concernant «
la fiabilité du projet » et de « l'inertie des élus locaux.
Or, en juin, la commune a déjà dû prendre en charge la non-solvabilité d'un
projet industriel qui devait se développer dans cette zone, il y a plusieurs
années ».
Par conséquent, le collectif préconise, « afin de prévenir toute
utilisation inappropriée de fonds publics, le dépôt sur des comptes bloqués des
subventions publiques (Ademe, 1,3 million d'euro, Conseil Général, 300 000,00 €
et Agence de l'eau, 1,6 million d'euros) » et de consacrer ces sommes au
dédommagement des riverains, entre autre.
Désormais, «
au-delà de s'opposer au projet de méthanisation, l'objectif du collectif est de
faire requalifier la zone industrielle de Loge Begoarem en zone artisanale,
comme cela était prévu à l'origine ».
Informations sur gazapart.blogspot.fr ; contact :
logebeg.degaz@gmail.com"
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