jeudi 30 avril 2015

Méthanisation : Les Bannalecois se posent des questions

Les Bannalecois se posent de plus en plus de questions sur cette usine de méthanisation prévue dans la ZI de Loge-begoarem sur leur commune  et qui aurait dû être installée depuis 2013, d'après les annonces faites antérieurement.

Depuis, les acteurs ont changé.

Capvert Energie et ses 3 bons pères de famille ( c'est ainsi que la presse nous les a présenté) ont racheté la majorité des parts de Naskéo-Biogaz et l'on n' entend plus parler M. Marc Bauzet qui montait au créneau dans les premiers temps où il décida de faire installer cette usine par Naskéo, sur la commune de Bannalec.
Le temps passe, les surfaces ont doublées et l'on est toujours dans le flou le plus complet concernant les apports de déchets, qui devaient provenir, pour plus de la moitié, de la filière des grandes surfaces et autres super-marchés. D'abord on nous a dit que s'était confidentiel et puis on se rend compte qu'un rapport du Conseil Géneral du Finistère indique qu'il y aurait des doublons entre tous les projets et que les matières à méthaniser ne pourraient suffire à tous.
Déjà cela représentait un immense gâchis concernant certaines denrées qui arrivaient en date limite et qui le plus souvent partaient à la benne ( quelquefois dans le réseau des banques alimentaires, quand même).Ces denrées en date limite, donc invendables , auraient-elles pû alors être comptabilisées dans les matières méthanisables puisqu'en fin de vie, et comme cela est prévu avec leurs emballages d'origine ? Peut-être.
On s'aperçoit aujourd'hui, qu'il en serait autrement car  une nouvelle réglementation  voit le jour afin de ne pas gâcher ces aliments, changer la terminologie des dates limites, et tout faire afin de ne pas laisser perdre ces denrées qui autrement auraient pu alimenter des méthaniseurs ou bien finissant en composts.
Encore cela de moins à méthaniser. Finirait-on par n'y mettre que des cultures dédiées ou pire n'importe quoi afin de faire tourner la machine ?

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                            Photo : Journal Le Télégramme


Les journaux locaux conscients des demandes des Bannalecois ont donc assisté à la  réunion  du Collectif Loge-begdegaz, qui est contre l'implantation de l'unité de méthanisation de Bannalec, sur le site de la ZI de Loge-Begoarem, lundi dernier.

                         A l'occasion de cette réunion hebdomadaire, à laquelle peut assister et participer toutes les personnes s’intéressant à leur commune* et au projet de méthanisation, le Collectif fait remarquer aux journalistes présents : "
 - (...) « Le projet de Loge-Begoarem concentre à lui seul tous les critères d'un mauvais méthaniseur avec un site bien trop près des habitations, une taille gigantesque (50.000 tonnes pour 1.500 kWh) et un procédé de cogénération non rentable. Nos sols vont servir de cobayes ; les effluents liquides conséquents seront pris en charge par la station d'épuration "

Servir de cobayes certainement et pas seulement les sols, comme je le faisais déjà remarquer en Décembre 2014. Et ce n'est pas seulement le collectif et d'autres qui le disent, mais Le Club Biogaz lui-même. Club qui a édité le fameux Guide -référence destiné à ces adhérents et dans lequel a largement puisé Naskéo. Ils écrivaient ceci : " (...)l’enquête menée par le Club Biogaz débouchera sur des propositions d’actions : « Nous organisons un séminaire sur ce thème le 24 novembre ( 2014). Après avoir identifié les besoins, nous pourrions par exemple rédiger d’ici 2015 à 2016, des guides, des retours d’expériences ou encore un point sur les obligations réglementaires »...

Ils en sont encore à attendre des retours d'expériences, et publier des guides.... d'un document finalisé en 2011. ( Experiences avec les cobayes d'office,  sans doute).
__________________

(...) La méthanisation industrielle crée des déchets qu'elle peine à rendre acceptables. Les digestats, au lieu d'être un engrais, comme promis, s'avèrent être des concentrés toxiques pour les sols agricoles où ils sont épandus. 

Effectivement, des déchets de toutes sortes dont on ne connaît pas la provenance ou pire la composition, ne peuvent qu'engendrer des résidus, que l'on appelle pudiquement digestats, ayant des caractéristiques communes. Et l'on ne met pas à méthaniser ce qui peut se traiter d'une autre manière. donc REBUTS.
__________________

(...) « Partout où il y a usine et épandage des digestats, les populations se plaignent des nuisances odorantes, d'une abondance de mouches et du bruit lié aux installations et au trafic de camions ».
__________________

(...) Un site proche des maisons Un membre du collectif est revenu sur le feu d'une cuve dans l'usine de Saint-Gilles-du-Méné (Côtes-d'Armor) : « Avec les origines diverses des matières, la corrosion est si forte que la durée de vie des cuves est énormément réduite »


Voir ici :>>>>(clic)  : Incendie à l'usine de méthanisation

__________________

Autre interrogation : (...) Avec près de 80 % de financements publics pour ce dossier, que sont devenues les subventions attribuées ?

On attend des réponses !

_________________

Les réponses ? mais de qui ? :

Un comité de suivit  a été crée et comme le souligne le Collectif de Logbegoarem : (...) À la demande du commissaire enquêteur et en accord avec le maire, un comité de suivi du site s'est formé. Il doit se réunir chaque trimestre, « Or il n'y a eu que deux réunions depuis 2013.

Chercher l'erreur !

________________________


On pouvait lire dans les journaux locaux  du 04 Mars 2013 , cette déclaration de M. Marc Bauzet ( directeur général de la société Naskéo)- à cette époque.
 je cite : "Biogaz s'est toujours engagé à être exemplaire sur la maîtrise de l'ensemble des éventuelles nuisances vis-à-vis des voisins et a accepté la création d'une Commission locale d'information et de surveillance du site, dont l'existence et la composition seront décidées par le préfet et pourrait comprendre des riverains ».

Nous étions en Mars 2013.


 Et cette commission est obligatoire , rappelons-le :

 "Une Commission locale d'information (CLI) ou Commission locale d'information et de surveillance (CLIS) est une structure d'information et de concertation obligatoirement mise en place par certaines installation classée pour la protection de l'environnement (ICPE) (en France)."
Source : Wikipédia:

Alors ! nous sommes au printemps 2015 et seulement  2 réunions ont eu lieu, avec des compte-rendus tronqués que les participants  opposés au projet ont refusés de signer et pour cause, des intervenants initiateurs du projet n'ayant pas lus les rapports etc...

Depuis, ce n'est plus Naskéo ( ayant revendu un nombre important de ces parts) qui est l'acteur principal du projet, mais, la Ste Capvert Energiequi ne s'est pas  fait connaître auprès des riverains lors d'une éventuelle réunion, pourtant obligatoire.

Le flou a tout niveau de cette entité pose questions. Flou concernant ces dirigeants, flou concernant l'approvisionnement en déchets, flou concernant le tonnage traité, flou sur le traitement des "digestats", flou sur leurs stockages à l'air libre malgré un arrêté préfectoral signé par le même préfet interdisant ces stockages de plein air, flou concernant les bâtiments et le changement d’éléments du permis de construire, flou au niveau de la mairie, qui par la voix de M. le Maire, signale que ce n'est plus de son ressort, et ne parle plus de son implantation comme il en était question lors de de ces allocutions de début d'année.
Je signale aussi cet argument de M. Marc Bauzet,en Mars 2013, en faveur de l'usine prévue par Naskéo, depuis son initiation en 2010 : ...(...) "Le projet permettra aussi de créer un réseau de chaleur pour de futures installations sur ce terrain, qui appartient désormais à la Cocopaq"...
( Actuellement on ne parle plus que du bénéficiaire unique, puisque seul sur le terrain depuis de nombreuses années et qui devra payer cette chaleur, à savoir , les Ets Tallec qui ont  investit des parts dans Biogaz Bannalec, le restant partant en courant d'air-chaud-certainement) . 

Je n'ose penser ce que pourraient en penser aujourd'hui ceux qui ont initié le projet, qui  de 20 000t/an est passé à 50 000 t/an pour peut-être ne traiter que péniblement 33 000/an dans les mêmes bâtiments, ceux qui ont expliqué lors de la première réunion ( pas celle du comité de suivit ),  pour se faire connaître auprès des riverains, des  conseillers municipaux, de M.le maire, etc.. que la collecte de déchets aurait lieu  dans un rayon de 20 km de Bannalec et autres arguments obsolètes pour ne pas dire autre chose....et autres promesses non tenues et non tenables...qui constitue une tromperie par rapport à ce qui est prévu dorénavant.

* Reunion tous les lundis à 19h au bar-restaurant de Loge-Begoarem .


SOURCES/    http://www.ouest-france.fr/les-membres-de-logebeg-degaz-unis-contre-la-methanisation-3358650




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Et toujours la pétition :>>>(clic) >>:  :CONTRE L'USINE DE METHANISATION DE BANNALEC *
*organisée par le collectif de Riverains de Loge Begoarem, commune de Bannalec :logebeg.degaz@gmail.com

Cliquez sur le lien, si vous aussi vous doutez du bien-fondé de cette usine  ou si vous jugez que la méthanisation ici ou ailleurs, dans ces conditions n'est pas acceptable.

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Ce blog est indépendant de toutes associations,collectifs ou mouvements politiques ... vous pouvez  laisser vos commentaires dans chacun des articles écrits ou bien ci-dessous :

 (de même, si vous y voyez des erreurs, prière de les signaler.

Méthanisation : Les Bannalecois se posent des questions

Les Bannalecois se posent de plus en plus de questions sur cette usine de méthanisation prévue dans la ZI de Loge-begoarem sur leur commune  et qui aurait dû être installée depuis 2013, d'après les annonces faites antérieurement.

Depuis, les acteurs ont changé.

Capvert Energie et ses 3 bons pères de famille ( c'est ainsi que la presse nous les a présenté) ont racheté la majorité des parts de Naskéo-Biogaz et l'on n' entend plus parler M. Marc Bauzet qui montait au créneau dans les premiers temps où il décida de faire installer cette usine par Naskéo, sur la commune de Bannalec.
Le temps passe, les surfaces ont doublées et l'on est toujours dans le flou le plus complet concernant les apports de déchets, qui devaient provenir, pour plus de la moitié, de la filière des grandes surfaces et autres super-marchés. D'abord on nous a dit que s'était confidentiel et puis on se rend compte qu'un rapport du Conseil Géneral du Finistère indique qu'il y aurait des doublons entre tous les projets et que les matières à méthaniser ne pourraient suffire à tous.
Déjà cela représentait un immense gâchis concernant certaines denrées qui arrivaient en date limite et qui le plus souvent partaient à la benne ( quelquefois dans le réseau des banques alimentaires, quand même).Ces denrées en date limite, donc invendables , auraient-elles pû alors être comptabilisées dans les matières méthanisables puisqu'en fin de vie, et comme cela est prévu avec leurs emballages d'origine ? Peut-être.
On s'aperçoit aujourd'hui, qu'il en serait autrement car  une nouvelle réglementation  voit le jour afin de ne pas gâcher ces aliments, changer la terminologie des dates limites, et tout faire afin de ne pas laisser perdre ces denrées qui autrement auraient pu alimenter des méthaniseurs ou bien finissant en composts.
Encore cela de moins à méthaniser. Finirait-on par n'y mettre que des cultures dédiées ou pire n'importe quoi afin de faire tourner la machine ?

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                            Photo : Journal Le Télégramme


Les journaux locaux conscients des demandes des Bannalecois ont donc assisté à la  réunion  du Collectif Loge-begdegaz, qui est contre l'implantation de l'unité de méthanisation de Bannalec, sur le site de la ZI de Loge-Begoarem, lundi dernier.

                         A l'occasion de cette réunion hebdomadaire, à laquelle peut assister et participer toutes les personnes s’intéressant à leur commune* et au projet de méthanisation, le Collectif fait remarquer aux journalistes présents : "
 - (...) « Le projet de Loge-Begoarem concentre à lui seul tous les critères d'un mauvais méthaniseur avec un site bien trop près des habitations, une taille gigantesque (50.000 tonnes pour 1.500 kWh) et un procédé de cogénération non rentable. Nos sols vont servir de cobayes ; les effluents liquides conséquents seront pris en charge par la station d'épuration "

Servir de cobayes certainement et pas seulement les sols, comme je le faisais déjà remarquer en Décembre 2014. Et ce n'est pas seulement le collectif et d'autres qui le disent, mais Le Club Biogaz lui-même. Club qui a édité le fameux Guide -référence destiné à ces adhérents et dans lequel a largement puisé Naskéo. Ils écrivaient ceci : " (...)l’enquête menée par le Club Biogaz débouchera sur des propositions d’actions : « Nous organisons un séminaire sur ce thème le 24 novembre ( 2014). Après avoir identifié les besoins, nous pourrions par exemple rédiger d’ici 2015 à 2016, des guides, des retours d’expériences ou encore un point sur les obligations réglementaires »...

Ils en sont encore à attendre des retours d'expériences, et publier des guides.... d'un document finalisé en 2011. ( Experiences avec les cobayes d'office,  sans doute).
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(...) La méthanisation industrielle crée des déchets qu'elle peine à rendre acceptables. Les digestats, au lieu d'être un engrais, comme promis, s'avèrent être des concentrés toxiques pour les sols agricoles où ils sont épandus. 

Effectivement, des déchets de toutes sortes dont on ne connaît pas la provenance ou pire la composition, ne peuvent qu'engendrer des résidus, que l'on appelle pudiquement digestats, ayant des caractéristiques communes. Et l'on ne met pas à méthaniser ce qui peut se traiter d'une autre manière. donc REBUTS.
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(...) « Partout où il y a usine et épandage des digestats, les populations se plaignent des nuisances odorantes, d'une abondance de mouches et du bruit lié aux installations et au trafic de camions ».
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(...) Un site proche des maisons Un membre du collectif est revenu sur le feu d'une cuve dans l'usine de Saint-Gilles-du-Méné (Côtes-d'Armor) : « Avec les origines diverses des matières, la corrosion est si forte que la durée de vie des cuves est énormément réduite »


Voir ici :>>>>(clic)  : Incendie à l'usine de méthanisation

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Autre interrogation : (...) Avec près de 80 % de financements publics pour ce dossier, que sont devenues les subventions attribuées ?

On attend des réponses !

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Les réponses ? mais de qui ? :

Un comité de suivit  a été crée et comme le souligne le Collectif de Logbegoarem : (...) À la demande du commissaire enquêteur et en accord avec le maire, un comité de suivi du site s'est formé. Il doit se réunir chaque trimestre, « Or il n'y a eu que deux réunions depuis 2013.

Chercher l'erreur !

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On pouvait lire dans les journaux locaux  du 04 Mars 2013 , cette déclaration de M. Marc Bauzet ( directeur général de la société Naskéo)- à cette époque.
 je cite : "Biogaz s'est toujours engagé à être exemplaire sur la maîtrise de l'ensemble des éventuelles nuisances vis-à-vis des voisins et a accepté la création d'une Commission locale d'information et de surveillance du site, dont l'existence et la composition seront décidées par le préfet et pourrait comprendre des riverains ».

Nous étions en Mars 2013.


 Et cette commission est obligatoire , rappelons-le :

 "Une Commission locale d'information (CLI) ou Commission locale d'information et de surveillance (CLIS) est une structure d'information et de concertation obligatoirement mise en place par certaines installation classée pour la protection de l'environnement (ICPE) (en France)."
Source : Wikipédia:

Alors ! nous sommes au printemps 2015 et seulement  2 réunions ont eu lieu, avec des compte-rendus tronqués que les participants  opposés au projet ont refusés de signer et pour cause, des intervenants initiateurs du projet n'ayant pas lus les rapports etc...

Depuis, ce n'est plus Naskéo ( ayant revendu un nombre important de ces parts) qui est l'acteur principal du projet, mais, la Ste Capvert Energiequi ne s'est pas  fait connaître auprès des riverains lors d'une éventuelle réunion, pourtant obligatoire.

Le flou a tout niveau de cette entité pose questions. Flou concernant ces dirigeants, flou concernant l'approvisionnement en déchets, flou concernant le tonnage traité, flou sur le traitement des "digestats", flou sur leurs stockages à l'air libre malgré un arrêté préfectoral signé par le même préfet interdisant ces stockages de plein air, flou concernant les bâtiments et le changement d’éléments du permis de construire, flou au niveau de la mairie, qui par la voix de M. le Maire, signale que ce n'est plus de son ressort, et ne parle plus de son implantation comme il en était question lors de de ces allocutions de début d'année.
Je signale aussi cet argument de M. Marc Bauzet,en Mars 2013, en faveur de l'usine prévue par Naskéo, depuis son initiation en 2010 : ...(...) "Le projet permettra aussi de créer un réseau de chaleur pour de futures installations sur ce terrain, qui appartient désormais à la Cocopaq"...
( Actuellement on ne parle plus que du bénéficiaire unique, puisque seul sur le terrain depuis de nombreuses années et qui devra payer cette chaleur, à savoir , les Ets Tallec qui ont  investit des parts dans Biogaz Bannalec, le restant partant en courant d'air-chaud-certainement) . 

Je n'ose penser ce que pourrais en penser aujourd'hui ceux qui ont initié le projet, qui  de 20 000t/an est passé à 50 000 t/an pour peut-être ne traiter que péniblement 33 000/an dans les mêmes bâtiments, ceux qui ont expliqué lors de la première réunion ( pas celle du comité de suivit ),  pour se faire connaître auprès des riverains, des  conseillers municipaux, de M.le maire, etc.. que la collecte de déchets aurait lieu  dans un rayon de 20 km de Bannalec et autres arguments obsolètes pour ne pas dire autre chose....et autres promesses non tenues et non tenables...qui constitue une tromperie par rapport à ce qui est prévu dorénavant.

* Reunion tous les lundis à 19h au bar-restaurant de Loge-Begoarem .


SOURCES/    http://www.ouest-france.fr/les-membres-de-logebeg-degaz-unis-contre-la-methanisation-3358650




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Et toujours la pétition :>>>(clic) >>:  :CONTRE L'USINE DE METHANISATION DE BANNALEC *
*organisée par le collectif de Riverains de Loge Begoarem, commune de Bannalec :logebeg.degaz@gmail.com

Cliquez sur le lien, si vous aussi vous doutez du bien-fondé de cette usine  ou si vous jugez que la méthanisation ici ou ailleurs, dans ces conditions n'est pas acceptable.

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